Tout savoir (ou presque) sur le Générateur à Effet SEARL
Dans un de nos précédents articles, vous avez dû voir notre moteur magnétique en action. Aujourd’hui, je voudrais vous parler d’un appareil plutôt spécial qu’on appelle : le « Searl Effect Generator » (en Français: « Générateur à Effet SEARL »).
Comme il appartient à la grande famille des énergies libres, le SEG fonctionne en tant qu’appareil surnuméraire. Son inventeur, John Robert Searl a conçu cet appareil à partir d’une théorie simple mais très astucieuse : le SEG exploite l’énergie cinétique produite par les transformations naturelles de la température ambiante. Pour faire simple: c’est un générateur qui exploite les mouvements causés par les changements de température.
Cette invention allie donc cette astuce avec le principe d’un moteur à induction linéaire (ou MIL pour faire court). Mais c’est là où l’ingéniosité va vraiment parler: à contrario des autres générateurs, ses rotors peuvent bouger autour d’un cercle, ou plutôt: autour d’un circuit circulaire.
On a donc des rouleaux électromagnétiques (les rotors) et un stator sous forme d’anneau (le circuit circulaire en question).
Vous le savez, une image vaut mille mots, et une vidéo en vaut peut-être dix mille. Voici donc une démonstration en vidéo du principe du Searl Effect Generator (en Anglais):
Searlsolution.com, le site officiel du SEG, parle d’un dispositif qui est fait de nombreux matériaux comme des aimants, du téflon, et aussi du cuivre, entre autres. Comme vous avez pu le voir sur la vidéo précédente, elle est plutôt complexe et n’est pas vraiment à la portée de tout le monde. Elle possède par exemple pas moins de 2000 éléments !
Il va sans dire que le générateur à effet SEARL a été la cible de très nombreux détracteurs et autres sceptiques en tout genre. C’est généralement l’accueil qu’on donne aux révolutions technologiques. Pourtant, les preuves de son bon fonctionnement sont nombreuses. Une des dernières applications de cette technologie se trouve par exemple sur le site swallowcommand.com.
Comme illustré plusieurs fois sur ce site web, l’énergie de ces systèmes est extraite de la structure de l’espace environnant (voir d’autres systèmes et d’autres nouvelles sur la page: alternative-energy-news.info). Cela signifie qu’elle n’est pas mesurable, ce qui crée une menace pour la plus grande industrie de la planète. Une industrie qui est en partie responsable de la destruction de la planète.
Est-ce que la terre est prête à passer le pas ? Pour moi, cette question ne se pose pas. C’est une chose impérative pour notre avenir.
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