L’effet Casimir, ou la preuve irréfutable que l’énergie libre existe
L’effet casimir est un cas concret d’énergie libre que même les sceptiques et les détracteurs ne peuvent pas contrer.
Des études ont été menées à l’Université de Vrije, ainsi qu’à la prestigieuse Université de Harvard. Ces études ont prouvé que l’effet n’est pas une supercherie, encore moins une utopie.
L’effet est un bel exemple d’énergie du vide ou d’énergie du point zéro. Voici la théorie : deux plaques métalliques conductrices très proches l’une de l’autre peuvent s’attirer à cause d’un déséquilibre dans les fluctuations quantiques. Selon la physique quantique, tous les champs (particulièrement le champ électromagnétique) fluctuent. Ils « oscillent » en temps réel aux alentours d’une valeur moyenne qui est constante.
Sachant que les limites d’une région peuvent bouger et se déplacer (elles ne sont pas fixes), il se crée le déséquilibre cité plus haut. La variation de l’énergie du point zéro conduit alors à cet « effet ».
Rien de mieux qu’une démonstration en vidéo pour illustrer tout cela (commentaires en Anglais) :
C’est une découverte importante relayée par de très nombreux chercheurs en Physique. Mieux encore : on commence à voir que ces principes ne sont pas seulement théoriques, mais surtout très pratiques. Une petite remarque en passant : c’est de là que viennent les premières suppressions en énergie libre : lorsque les conglomérats voient qu’une théorie peut s’appliquer, et qu’ils ne peuvent pas les contrôler comme ils ont l’habitude de le faire.
Pour tout le monde, le vide est le synonyme du néant. Par contre, Hendrik B. Casimir, un ancien directeur des recherches chez Philips pensait différemment des autres. Il pensait que ce vide pouvait contenir des « fluctuations d’ondes électromagnétiques ».
Il a donc supposé la théorie suivante dans les années 1950 : deux plaques métalliques qui sont à distance dans un vide pourraient emprisonner des ondes, ce qui créera l’énergie du point zéro. Ce vide, qui lui-même, pourrait attirer ou repousser les plaques en question!
Les cas pratiques, 50 ans plus tard
Harold E. Puthoff par exemple, Docteur en Physique Appliquée à l’Université de Stanford, a publié, en tant que chercheur à « l’Institut d’Etudes Avancées » à Austin, au Texas. Il a notamment diffusé un papier sur la force de fluctuation du vide dans la revue « Physical Review ».
Son article propose le principe suivant : la gravité n’est pas l’unique force que l’on peut qualifier de « fondamentale ». Elle existe plutôt en tant que comme une conséquence due aux fluctuations quantiques du vide. Ce qui est justement le cas dans la force qui existe au sein de l’effet Casimir.
Remarque intéressante : le professeur Puthoff avait curieusement des liens étroits avec le ministère de la Défense. Il a notamment conduit des recherches qui concernent la vision à distance. Les conclusions de ses recherches sont classées « dossiers classés confidentiels », et le programme a été stoppé, peu de temps après son commencement !
Je pourrais citer de nombreux cas d’arrêts de projets comme celui-ci, en passant par Stan Meyer, Tariel Kapanadze, ou encore Joseph Newman pour les plus connus. Le fait est que l’énergie libre existe bel et bien, et que certaines entités ne veulent toujours pas sa libération.
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